Les Guerres D'israel

ôøèé ä÷åáõ :

ñåâ ôòåìä : ôòåìä áùôä: öøôúéú

âéìàéí 8 - 14

âåãì ÷áåöä 5 - 20

îùê äôòåìä : 60 ã÷åú

ôøèéí ðåñôéí...

äåøãä

guerres_d'Israel.doc (470 KB)

 
äòøåú åúâåáåú

ñèèéñèé÷åú:
ðöôä: 5216
äåøã: 1841

Rated 453 times
Add this file to your personal library.

äàí äåøãúí ôòåìä æå åéù ìëí áîä ìùúó àçøéí?
æä äî÷åí!



îèøú äôòåìä

Le message à transmettre :

 

Notre objectif est que les ‘hani’him apprennent sur les différents conflits militaires auxquels Israël a du faire face dans son histoire.

Parler aussi des particularités de l’armée Israélienne.


úåëï äôòåìä

 

En 1949, à la veille du premier anniversaire de l’Etat d’Israël, la Knesset décide d’instituer un jour de souvenir de tous les soldats morts pour l’indépendance. Le 4 Iyar est alors appelé Yom HaZikaron, jour du souvenir.Au fil des années, en raison des différentes guerres, cette journée est dédiée à tous les militaires israéliens morts dans l’exercice de leurs fonctions, ainsi que, plus récemment, aux victimes du terrorisme.

 

Cette journée commence en Israël la veille au soir par une cérémonie officielle devant le Kotel. Une flamme est allumée et le chef de  l’état rappelle la mémoire de ces hommes et femmes. Le lendemain dans la journée, une cérémonie a lieu au cimetière militaire du Har Hertzl, mont Herzl., à Jérusalem. A 11h retentit dans tout le pays une sonnerie de deux minutes. Le pays entier s’arrête et tout le monde observe deux minutes de silence.Ce jour est, en Israël, perçu comme une journée de deuil national : dans toutes les écoles on parle des disparus et tout le pays se trouve dans les cimetières militaires.

 

Cette année, un nouveau nom a été ajouté à tous ceux des disparus : Johann Zerbib. Originaire de Mont-Rouge, il a grandi et a fait sa scolarité à l’école Yabné-Paris. A l’âge de 18 ans, son bac en poche, il est monté en Israël réaliser son rêve sioniste. Après un an passé à la Me’hina de Bar Ilan, il s’est engagé sous les drapeaux dans l’unité combattante d’élite Na’hal. En juin 2006, alors qu’il était censé terminer son service, il a décidé de le prolonger.

 

Lors de la seconde guerre du Liban en Juillet 2006, l’unité de Johann est envoyée au Liban. Le shabbat  12 août, à la veille du cesser le feu, la maison dans laquelle Johann se trouve est bombardée par des terroriste du Hezbollah. Johann y est tué sur le coup. Il est enterré au cimetière militaire d’Ashdod quelques jours plus tard.

 

Une amie d’enfance racontait que Johann était la fierté de  sa famille et de sa communauté de Mont-Rouge : il était allé jusqu’au bout de ses rêves ; monter en Israël et protéger son peuple. Il laisse ses parents et trois petits frères.

Yihé Zihrono Barou’h, que son souvenir soit bénédiction.

 

N’oubliez pas :

« Enseigne toujours avec amour.

La réussite t’appartient. »

 

Un peu de h’omer :

 

L’état d’Israël est crée en mai 1948. Le lendemain de sa création commence la guerre d’indépendance qui va durer un an. Depuis sa création  Israël a connu presque tous les 10 ans une guerre qui va à chaque fois profondément marquer l’identité des habitants du pays.

 

  • 1948-1949 : guerre d’indépendance.

 

Cette guerre débute en réalité quelques mois avant la déclaration d’indépendance : des mois auparavant des brigades arabes armées attaquent les habitants du yishouv juif. Tout est fait pour les démoraliser et pour empêcher leur retour et installation en erets Israël.

 

Le lendemain de la déclaration de l’Etat Juif, tous les pays arabes entourant le territoire israélien lui déclare la guerre. A chaque frontière se trouve un autre pays en guerre sur un front différent : l’Egypte, la Jordanie, le Liban, la Syrie et même l’Irak combattent le jeune Etat.

 

C’est une guerre particulièrement meurtrière : 6000 soldats vont être tués alors que le pays n’a que 600 000 habitants à l’époque. La glorieuse armée Tsahal que nous connaissons aujourd’hui n’est alors qu’une petite armée munie de faibles armes.

 

Cette guerre est aussi la guerre qui va définir les premières frontières de l’état Hébreu. En 1949, au cessez le feu, Israël ne possède ni la bande de Gaza qui reste aux Egyptiens, ni les régions de Yéhouda veShomron qui sont sous contrôle jordanien. Le plus douloureux est la séparation de Jérusalem entre une partie Israélienne et la partie la plus importante, celle de la vieille ville et du Kotel restée aux mains des jordaniens.

 

  • 1956 : Crise de Suez

 

En juillet 1956, l’Egypte privatise le canal de Suez permettant aux bateaux de ne pas contourner l’Afrique pour arriver de Méditerranée en Inde. En le privatisant, il empêche par la même occasion aux bateaux israéliens de passer par le canal.

 

L’Angleterre ainsi que la France, jusqu’à là actionnaires majoritaires du canal, décident de lancer une offensive afin de le dénationaliser. A la même période, des terroristes égyptiens franchissent en permanence la frontière et viennent perpétrer des attentas en Israël. Israël prends alors la décision de venir en aide à l’Angleterre et la France ce qui va lui permettre aussi de nettoyer la bande de Gaza et le Sinaï des terroristes qui s’y cachent.

 

L’offensive commence le 29 octobre 1956, et l’armée israélienne atteint très rapidement le canal de Suez après avoir conquis Gaza et le Sinaï. Mais une crise internationale se déclare et les Etats-Unis ainsi que l’Urss votent à l’Onu une motion de censure à l’égard d’Israël. Tsahal est alors obligée de se retirer le 10 novembre de tout le territoire vaincu. Une force de l’Onu vient alors se positionner dans le désert du Sinaï pour protéger Israël des terroristes arabes.

 

Mais cette opération a quand même été bénéfique pour Israël : elle lui a permit de détruire une partie importante de l’arsenal Egyptien ainsi que de recevoir des armes de la France en raison de leur engagement. C’est ainsi que Tsahal reçoit ses premiers avions à réaction.

 

  • 1967 : guerre des Six Jours

 

Les premiers mois de 1967, sont des mois remplis de peur d’une attaque massive des pays arabes. Sous la pression de l’Egypte, l’Onu est obligée de retirer ses forces du Sinaï et tout le monde s’attend à un conflit majeur. En Israël le mot d’ordre est : « Il faut empêcher une nouvelle Shoah ».

 

Le 5 juin 1967 à 5h00 du matin commence l’offensive surprise de Tsahal sur tous les pays arabes avoisinants : l’aviation de l’Egypte est complément détruite en quelques minutes, puis c’est au tour des forces de terre d’attaquer sur tous les fronts.

 

En six jours, l’Etat d’Israël conquit le plateau du Golan, Yéhouda veShomron, la bande de Gaza, le Sinaï et Jérusalem Est. Jérusalem est enfin réunifiée.

 

Cette guerre est suivie avec allégresse de part le monde. C’est une « guerre-miracle ». Le monde entier est bluffé par le coup de maître de la jeune armée Israélienne.

 

  • 1973 : guerre de Kippour

 

Durant l’été 1973 les services secrets israéliens craignent une attaque d’une coalition arabe. Mais ces informations ne sont pas assez prises au sérieux et le 6 octobre 1973, jour de Yom Kippour, alors que tout le pays se trouve dans les synagogues en ce jour solennel, les troupes égyptiennes et syriennes passent les frontières.

 

S’ensuit une période de crise dans le pays : différents pays arabes comme la Tunisie, la Libye, le Maroc, le Soudan participent à l’effort de guerre. Tous les soldats israéliens sont mobilisés et l’armée essuie de nombreuses pertes.

 

Après trois semaines de conflit, un cessez le feu est imposé par Israël afin de permettre un rapprovisionnement en armes. Après ce cessez le feu Israël réussit changer le cours de la guerre. Grâce à différentes offensives Israël réussit à détruire les différentes armées arabes et à gagner la guerre.

 


Pourtant, malgré cette victoire, la guerre de Kippour est celle où il y a eu le plus grand nombre de pertes dans l’armée. C’est une guerre qui encore aujourd’hui est la plus douloureuse dans le cœur des Israéliens. 

 

  • 1982 : opération Paix en Galilée

 

Depuis le milieu des années 1970, de nombreuses tensions existent entre Israël et le Liban. Plusieurs opérations militaires ont lieu au sud-Liban.

 

En 1982 à la suite de la tentative d’assassinat de l’ambassadeur Israélien à Londres par un commando palestinien, Israël bombarde les camps de l’Olp présents au Liban. En guise de représailles, l’Olp bombarde la Galilée. Une offensive est alors lancée au Liban en juin 1982.

 

L’objectif de cette guerre est de faire arrêter les tirs de l’Olp. L’armée Israélienne entre au Liban et progresse jusqu’à Beyrouth. Une bonne partie des forces de l’Olp sont alors détruites. 

 

L’armée Israélienne va rester au Sud-Liban pour une période de 19 ans et en mars 2001 se retire du Liban. Des dizaines de soldats sont tués à cette frontière par des terroristes pendant toutes ces années.

  • Les deux intifadas : 1987 et 2000

 

Israël va vivre à deux reprises des périodes de guerre à l’intérieur des terres avec les populations arabes palestiniennes. La première fois en 1987 les palestiniens jetaient des pierres sur les soldats Israéliens.

 

En septembre 2000, les soldats sont attaqués par des balles et des terroristes s’infiltrent dans le pays et s’explosent en faisant de nombreuses victimes civiles et militaires. 

 

  • 2006 : la deuxième guerre du Liban

 

Fin juin 2006, le soldat Guilad Shalit est kidnappé dans la bande de Gaza. Tsahal lance alors une opération militaire afin de le retrouver. En réponse à cette opération le Hezbollah bombarde le nord d’Israël.

 

Le 12 juillet 2006 deux soldats sont capturés au nord d’Israël par une incursion de terroristes du Hezbollah. Une guerre est alors déclarée afin de libérer ces soldats et arrêter les bombardements de roquette sur le nord du pays.

Les violences se sont arrêtées au Liban le lundi 14 août 2006 avec l'application d'une partie des mesures de la résolution 1701(2006) de l'ONU.

Cette guerre est très mal menée et laisse un goût très amer à la population israélienne : 174 soldats sont tués lors de ce conflit.

Le message à transmettre :

 

Notre objectif est que les ‘hani’him apprennent sur les différents conflits militaires auxquels Israël a du faire face dans son histoire.

Parler aussi des particularités de l’armée Israélienne.

Des idées pour s’inspirer

 

·     çáøéä àìó

 

But : 

Expliquer aux ‘hani’him les valeurs de Tsahal

 

Déroulement de la Péoula :

 

Organiser différentes épreuves de « type militaire ».

A chaque fois que les ‘hani’him réussissent une épreuve  ils reçoivent une carte avec une qualité différente des soldats de tsahal : la camaraderie, la bravoure, le courage…

 

Terminer par raconter aux ‘hani’him ce qu’est que l’armée en Israël ainsi que les différentes guerres que le pays a vécu.



ôòåìåú ãåîåú ðéúï ìîöåà âí á÷èâåøéåú äáàåú:
» äëì > òí éùøàì > àçãåú
» äëì > à÷èåàìéä > äñëñåê äòøáé éùøàìé
» äëì > îùç÷éí > ëììé
» äëì > äéñèåøéä > áîãéðú éùøàì 1948 to now
úâåáåú äâåìùéí: