La Haloutsiout

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Bu

Qu'est ce que la Haloutsiout??  Parrallel entre la Hloursiout originelle et celle d'aujourd'hui.


Contenu de la ressource

 

La  çìåöéåú

 

 

Dans la Torah

 

Le terme de « Halouts » est employé pour la première fois dans le livre de Bamidbar ì"á : «  åòáø ìëí ëì çìåõ àú äéøãï ìôðé ã×… åðëáùä äàøõ… » ; « et tout Halouts traversera le Jourdain devant D... ... et la Terre fut conquise… ».

Le mot « Halouts » prend le sens de troupe armée. Le Halouts est à l’origine d’un guerrier qui va « combattre devant D… ». Les enfants d’Israël sont arrivés devant Canaan ; c’est alors que les tribus de Gad et Réouven, ainsi que la moitié de la tribu de Ménaché décident de ne pas franchir le Jourdain et de s’installer dans le pays de Guilaad (en face de Beit Chéan). Moshé leur demande alors s’ils n’ont pas l’intention d’aller combattre avec le reste du peuple pour conquérir la terre de Canaan. C’est alors que le chef des tribus de Gad et Réouven répondirent : « nous resterons les éclaireurs  (=Haloutsim) qui marcheront à la tête des fils d’Israël ».

Moché consent alors à ce que Gad et Réouven gardent Guilaad et leur dit : « si vous êtes « éclaireurs » devant D.. ». Nous constatons qu’il y a une différence dans les termes employés par les chefs des tribus, et ceux employés par Moché : Gad et Réouven veulent être Haloutsim devant le peuple, Moché veut qu’ils soient Haloutsim devant D… Pour finir, Gad et Réouven reprennent : « Nous serons Haloutsim devant D… ».

[Madrih(a), nous te conseillons d’étudier ce passage interressant.]

 

Que signifie cette différence de terminologie ?

Aller à la tête de peuple, être à l’avant-garde, c’est la première attitude à prendre, mais il ne suffit pas d’être responsable du destin du peuple ; il faut aller plus loin : il faut être « Haloutsim » devant D…

 Comment ?

 En refusant le  fatalisme, il ne faut pas attendre que D.. vienne nous sauver, il fait prendre l’initiative. Il nous faut montrer que nous sommes capables de comprendre et de réaliser le plan divin de notre propre initiative.

Le « Halouts » devant D.. fut Nahchon ben Aminadav qui, le premier n’hésita pas à se jeter dans la mer rouge, c’est lui qui permit au miracle de se réaliser (le Midrash ajoute que grâce à son geste, sa postérité méritera de garder la royauté).

Le Halouts, c’est Pinhas qui « détournera le colère de D.. »[áîãáø; ëØä;é×] (le verset affirme que sa prise de position vaudra à sa postérité la Kéhouna).

 

Nous retrouvons ce terme dans le livre de Dévarim â×; ëØäet dans le livre de Yoshua å×, le sens s’est rétrécit et il signifie « avant-garde », ce n’est plus l’armée, mais, l’élite des combattants, ceux qui donnent le ton, ceux qui guident le peuple.

 

Les Haloutsim sont une élite, ce sont des volontaires toujours prêts à réagir pour donner de l’élan au peuple juif, ou qu’il soit, sur sa propre initiative, et non pour sa propre ambition.

La Haloutsiout est donc l’esprit même avec lequel les hommes ont agit.

 

La valeur des Haloutsim est le dévouement de l’individu à la collectivité, la recherche de l’égalité sociale et la valeur suprême du travail.

 

 

 

Les Haloutsim, les pionniers

 

Depuis le début du sionisme les pionniers étaient au centre des objectifs de la Alya. Les premières activités des pionniers ont lieu vers la fin du 19e siècle. Elles consistaient à construire des implantations en Israël à partir de la première Alya.

Les pionniers sont des personnes dévouées à développer la terre d’Israel.

A partir de la seconde Alya, ils se sont, surtout, occupé de créer des implantations agricoles

 Ils construisirent des kibboutsim (communauté agricole), des moshavot (colonies agricoles)  souvent sur des terrains marécageux, inconstructible disait-ton !

 

[ Il faut savoir que de nos jours ces moshavot sont à l’origine de grandes villes d’Israël comme Pétah Tikva où Richon Létsion. Aujourd’hui, ces villes sont très développées industriellement, des entreprises de Haute-Technologie (ou « Hight-Tech ») y sont implantées, parmi elles, des sociétés placées parmi les meilleures sur l’échelle mondiale !!!!  ]

 

Petah tikva en 1912

 

 

 Les Pionniers sont ceux qui se trouvent à la tête de la construction du pays d’Israël. Ils construisirent quel que soit le prix. Ils furent confrontés non seulement aux danger de l’empire  Ottoman puis anglais, mais aussi à des maladies comme la malaria, à la chaleur, à la pauvreté (souvent ils n’avaient pas de quoi manger) et malheureusement à la mort. Les premiers pionniers étaient souvent de riches personnes ayant acheté des terrains en Israël dans le but de les cultiver. Souvent, ils n’avaient aucune expérience dans le domaine de l’agriculture. Ils ont persisté à  rendre ces terres fertiles (coute que coute) par amour pour la terre et pas confiance en D…

Le mouvement « Halouts » fondé par Yossef Trompeldor en 1917 était une force pionnière essentielle durant ces années. Il comprenait les Olim de la deuxième et troisième Alya.

 

Zéev Jabotinsky décrit une discussion avec Yossef Trompeldor, (en 1916)  où se dernier lui définit le pionnier :

« La notion du pionnier est plus grande que celle de « marcher en tête ». Bien sûr que l’on recherche aussi des travailleurs,  mais ce n’est pas ça un « Halouts ». Nous recherchons des personnes prêtes à tout, à tout ce que nécessite Erets Israël.

Un ouvrier a des intérêts : ses ouvriers, les soldats : leur esprit de corps. Les médecins, les ingénieurs et les autres ont des habitudes à eux, si on peut expliquer ça, comme cela. Peut être devrions nous fonder une génération qui n’aurait ni intérêts, ni habitudes à elle propre. Une génération de fer. Souple - mais de fer. De métal, que l’on forgerait  pour tous les besoins de la machine nationale (Etat d’Israël). Il manque une roue ? Je suis la roue. Il manque un clou, une vis ? Prenez moi. Il faut creuser la terre ? Je creuse. Il faut combattre ? Je suis un soldat. Un policier ? Un médecin ? Un avocat ? Un enseignant ? Une pompe à eau ? A votre service, je fais tout. Je n’ai pas de visage, de psychologie, de sentiment je n’ai même pas de nom : je suis l’idée pure du service prêt à tout, je ne suis lié à rien, je ne connais qu’un seul ordre : Construire. 

-          « Il n’existe pas de personnes comme cela » ai-je dis.

-         « Il y en aura » m’a-t-il répondu

 Je me suis trompé et il a eu raison. Le premier homme qu’il décrivait était assis devant moi. Yossef Trompeldor était lui-même comme ça : avocat, soldat, ouvrier dans une ferme agricole. D’ailleurs il est venu jusqu’à Tel-Hai pour chercher du travail dans l’agriculture, et, s’est fait tuer par  une balle de pistolet. Il a dit « ce n’est rien » et est mort comme un fils immortel »

 

Ben Gourion (qui était lui aussi un pionnier) disait :

« Qu’est ce qu’être  pionnier ? C’est d’être conscient de la mission historique et de se tenir toujours prêt sans condition et sans réticence face aux difficultés et aux dangers – pour continuer cette mission (qui est de développer la Terre d’Israël).

 Etre un pionnier c’est la capacité morale et spirituelle de vivre au jour le jour selon ses instincts et selon le travail qu’il y a à fournir ».

 

Pionniers des premières et secondes Alyot.

Font parti du mouvement Bilou, áéØìå=áéú éùøàì ìëå åðìëä

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’implantation, le éùåá

 

 

Qu’est ce que s’implanter ?

C’est de peupler un endroit ou un terrain spécifique vide, à long terme. C’est aussi préparer ce terrain en eau, en égout, en énergie en transport publique et en construisant des maisons.

Le mot  éùåácaractérise, un terrain géographique où l’implantation se fait. Sa particularité est son emplacement géographique ; il est séparé d’autres éùåáéí par de grands terrains vagues non peuplés. Il est également caractérisé par son autonomie dans le sens où il s’organise tout seul ; il a sa propre « municipalité ». Les éùåáéí se diffèrent entre eux par leur niveau économique,  culturel et autre. Ainsi, chaque habitant a une attirance particulière  pour son éùåá et donc se diffère des autres implantations par sa tendance.

 

 

Les äúðçìéåéåú

 

 

 

äúðçìåú : Homech en Samarie

 

 

äúðçìéåéåú (« Hitnahalouyot ») est le mot qu’on a donné aux implantations se trouvant en dehors de la ligne verte, c'est-à-dire dans les terrains conquis par Israël lors de la guerre des six jours en 1967. Certains les appelle les « colonies ». Ce sont les implantations se trouvant en Judé-Samarie, sur la bande de Gaza, (plus maintenant malheureusement : le Goush Katif ça vous dit quelque chose ??), dans la partie du Sinaï (avant qu’elle ne soit donné), à l’Est de Jérusalem , sur la vallée du Jourdain et sur le plateau du Golan.

De son origine, le mot äúðçìéåéåú est une implantation par Héritage, “ðçìä”, c’est à dire que chaque partie de la Terre d’Israël est transmise de génération en génération comme un héritage familial. Le mot äúðçì figure plusieurs fois dans le úð"ê. Par exemple, dans le livre de Bamidbar il est écrit :

"åäúðçìúí àú äàøõ áâåøì ìîùôçåúéëí, ìøá úøáå àú ðçìúå åìîòú úîòéè àú ðçìúå, àì àùø éöà ìå ùîä äâåøì, ìà éäéä. ìîèåú àáåúéëí , úúðçìå." (ì'â, ð'ã)

“Vous lotirez ce pays par la voie du sort, entre vos familles, aux plus nombreux vous augmenterez leur patrimoine et aux moins nombreux vous réduirez leur patrimoine, à chacun l’endroit sur lequel son sort sera tombé lui appartiendra ; c’est selon les tribus de vos pères que vous hériterez ».

 

C’est par cette signification que l’on comprend le mot äúðçìåú, le fait de s’implanter dans tous les territoires d’Israël

 

Même si dans l’Histoire du sionisme, le mot äúðçìåú n’est pas utilisé uniquement pour décrire une implantation juive en Terre d’Israël mais également des implantations arabes ou bédouines en Israël, à partir de 1967, ce mot désigne  l’implantation juive dans les territoires se trouvant à l’extérieur de la ligne verte. Que ces territoires soient nouveaux ou se rénovent (comme Kfar Etsion, se trouvant dans le Goush Etsion  non loin de Jérusalem), ils seront appelés äúðçìåéåú .

Certains territoires  se trouvant dans ces régions ont été construits par des pionniers au début des premières Alyot.

 

Suite aux réactions négatives et aux critiques, des implantations dans les territoires de 1967, beaucoup de îúðçìéí (habitant des  äúðçìåéåú) n’acceptent pas  de se faire appeler de la sorte et pense que leur implantations n’est pas plus différente qu’un autre éùåá  se trouvant à l’intérieur des frontières de 1967. Pour eux il n’y a pas de différence entre ces territoires et les autres : tous appartiennent intégralement à l’Etat d’Israël. Il faut signaler que les implantations construits après 1967 par des arabes ou des bédouins, ne sont pas appelé äúðçìåú.

 

Histoire des äúðçìåéåú

 

Après la guerre des six jours, Israël se trouvait dans un dilemme : elle voulait garder ces territoires pour des raisons militaires de sécurité (sauf pour certains qu’elle à jugé non nécessaire de garder et les a rendu comme le Sinaï).

Il fallait donc distribuer aux habitants arabes de ces territoires des cartes de citoyenneté israélienne ce qui mettait en danger les juifs du pays. La solution au problème est de créer des äúðçìåéåú, des implantations juives dans ces territoires. Cela aiderait Israël, stratégiquement, à contrôler ces territoires. Juste après la guerre, on commença à parler de peupler ces territoires. On a commencé par peupler le Sinaï puis par le Goush Etsion (on reconstruisit le kibboutz de Kfar Etsion qui existait avant la guerre), le Goush Katif (reconstruction en 1970 du éùåá de Kfar Darom détruit pas les jordaniens lors de la guerre de l’indépendance)….

 

äúðçìåú : Har braha  à coté de Chéhem

 

L‘idéologie des îúðçìéí

 

Les îúðçìéí s’implantent dans ces territoires uniquement pour des raisons idéologiques. Ils pensent qu’il réalisent un objectif très important pour le peuple d’Israël : la Mitzva de peupler la Terre d’israël. Pour eux, la Terre nous a été remise dans nos mains par D…, ce dernier siècle, et il est en notre devoir de la peupler car c’est le début de la âàåìä, la délivrance.

Les îúðçìéí pensent aussi que le fait d’habiter dans ces endroits, est  nécessaire pour la sécurité du pays. Beaucoup risquent leur vie. En effet, ces implantations situées non loin de villes arabes, se font souvent tirer dessus, il est très souvent arrivé que des arabes entrent dans le éùåá et tirent sur des personnes, des maisons posent des bombes etc…Et, très souvent, les routes qui mènent à ces éùåáéí sont remplies d’embuscades : jets de pierres, tirs... C’est pourquoi les bus de Egged (compagnie israélienne de transport) qui desservent ces endroits sont obligatoirement blindés.

 

 La äúðçìåú d’aujourd’hui est-elle une çìåöéåú?

 

Les îúðçìéí d’aujourd’hui continuent le travail de construction du pays. L’esprit pionnier demeure toujours dans cette génération, non plus en construisant des Kibboutsim ou des Moshavot mais en édifiant de nouvelles implantations réparties dans tout le pays.

D’ailleurs beaucoup de îúðçéìéí s’attachent à la nature, beaucoup d’implantations sont agricoles. Certains cultivent la terre, élèvent des animaux etc…

D’autre part, beaucoup endroits d’Israël sont cités dans la Bible. Les îúðçìéí se donnent l’obligation de reconstruire ces endroits, ces villes d’époque et lient Judaïsme et Sionisme, Torah véAvoda. Ainsi beaucoup d’institutions religieuses sioniste se sont montées comme des Yechivot, Oulpénot (écoles de filles sous forme d’internat).

Yechiva de Névé Dékalim

dans le Goush Katif

 

Pour réaliser leur rêve, îúðçìéí sont prêt à donner leur âme et celle de leur famille afin qu’un jour le peuple d’Israël entier puisse résider dans ces endroits sans problèmes.

 

Ceux sont eux les çìåöéí de notre temps. Ceux qui se sacrifient pour leur peuple, pour l’avenir de l’Etat d’Israël pour la continuité de cet Etat et de notre peuple.

Ils ont les même valeurs que les Haloutsim : le dévouement de l’individu à la collectivté, la recherche de l’égalité sociale et la valeur suprême du travail.

On ne peut pas dire qu’il n’y a plus de pionniers, car il y en a toujours, sous une autre forme et un autre nom. Leur travail est différent, leurs difficultés sont différentes que celles  pionniers mais leurs objectifs sont les mêmes.

 

Et le Bné Akiva dans tout ça ??

 

S’engager pour nous, c’est de choisir d’œuvrer pour le peuple juif, sa Torah et son pays. C’est étendre notre enseignement avec cet esprit « Haloutsique » qui veut que l’on puisse penser travailler au service du peuple juif.

 

Notre enseignement se basant sur celle du Rav Kook depuis 1929  peut paraître ancienne, mais non justement ! Elle s’actualise encore et encore.

 

Le Bné Akiva mondial se veut que l’attitude du juif soit comme celle-ci :

-« Je sais qu’en Israël tout ,n’est pas rose mais je veux tout de même y aller pour changer cela ». C’est de monter pour que le Machiah vienne, et non pas l’attendre en Galouth.

-« Je sais qu’en Israël les juifs ne sont pas tous religieux, mais je veux y aller afin de leur enseigner ce que c’est ».

-« Je me bat pour mon peuple juif opprimé dans le monde, je me bat contre l’assimilation ».

-« Je me bat pour que le peuple juif soit une lumière pour les autres peuples et non le contraire ».

-Prendre l’exemple que dans le désert, le Aron Hakodesh, l’Arche Sainte a été portée sur les épaules du peuple pendant 40 ans, il y a toujours eu une épaule prête à porter cette Arche. Aujourd’hui, il n’y a plus de Aron hakodesh à porter mais nos épaules doivent porter les valeurs morales. Aujourd’hui c’est de porter le destin de tout le peuple, et être disposé à tendre son épaule.

 

C’EST CA LE BNE AKIVA DE FRANCE, ETRE UN çìåõ A NOTRE ECHELLE.

 

Tandis que le Bné Akiva d’israël, qui est sur place :

-Aide l’intégration des nouveaux Olim.

-Se trouve dans les rues en été, pour distribuer de l’eau fraiche aux passant, tout simplement !

-Se déplace dans les éùåáéí souvent attaqués, pour aider les familles, pour les renforcer psychologiquement.

-Se sent impliquer dans tout ce qui touche la créations d’implantation (beaucoup de snifim du Bné Akiva se trouvent dans des implantations)et le déracinement d’implantations (malheureusement).

- Etre sur le terrain lors du démantèlement du Goush Katif, de Amona et des autres éùåáéí ; que ce soit dans les manifestations de masse,  dans l’accompagnement des familles lors de leur départ, en donnant des activités constantes pour les enfants ou en prenant en charges d’autres choses.

-Aller visiter, aider, récolter des fonds pour les familles du Nord touchées par la (seconde) guerre du Liban l’été dernier.

 

Oui le Bné Akiva est haloutsique selon ses possibilités ; qu’il soit en gola ou en Israël, il se dévoue au peuple juif, à la société israélienne, et à sa terre, en travaillant !! Son seul objectif : L’avenir du peuple et de sa Terre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Idées de Péoulot

 

 

Hevraya Aleph

 

But du jeu : Arriver à avoir le plus d’installations en Israël.

 

 Reproduire la carte d’Israël en grand et l’accrocher.

 Découper à l’avance des points et des drapeaux.

 

Commencer par un gage. Si l’équipe à réussi, elle peut répondre à une question et créer un Ychouv, un Kibbouts ou une Moshava (on aura expliqué à l’avance ce que c’est).

Le premier groupe ayant créé le plus d’habitations, aura gagné.

Les questions porteront sur Israël d’aujourd’hui et d’époque. Les gages rappelleront les présences arabes d’après 1967, les tirs, les marécages, la maladie le froid, la sècheresse etc…

 

Conclusion : A la fin du jeu on remettra les idées des Hanihim en place en  leur expliquant  la différence entre les Kiboutsim, Moshavot, Ychouvim créés à l’époque et ceux créés de nos jours. On expliquera les objectifs des pionniers et des îúðçìéí. On leur démontrera que la construction d’Israël est toujours actuelle et qu’il y a toujours des Haloutsim.

 

 

 

Hevraya Beth

 

Le but du jeu : Discuter sur la notion de « pionniers modernes ». Peut-on toujours parler de pionniers à notre époque ?

 

-Est-ce que les territoires de 1967 sont différents des autres ?

-Si oui en quoi ? Que faudrait-il en faire ?

-Si non, a-t-on le devoir de les peupler ? Pourquoi ? Comment ?

-Si nous les peuplons que doit-on faire, à quels dangers devrions nous faire face ? Quel prix faudra t-il payer ?

 

Il faudra diviser le groupe en deux parties :

 Le premier groupe représentera les grands parents montés en Israël lors des premières Alyot. Ces personnes ont surmontées pleins de problèmes pour un seul objectif (voir plus haut)…

Le second groupe représentera les petits enfants sortant de la Yechiva et désirant fonder un éùåá, à l’intérieur des territoires de 1967. Eux aussi seront confronter à plusieurs problèmes, mais sont prêt à tout. Ils savent que cela aiderait stratégiquement la sécurité d’Israël, ils veulent accomplir la Mitsva de peupler Israël (voir plus haut) etc...

 

Il faudra distribuer aux deux groupes des arguments afin de mener un débat.

 

Conclusion :  Ces deux types de personnages sont des Haloutsim, chacun selon son époque et ses difficultés. Oui il existe des Haloutsim modernes de par leurs objectifs, par leur manière d’agir et de penser.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En souvenir du Mahané…Chansons que l’on a l’habitude de chanter après le repas chez nous, au Bné Akiva..

 

 

çìåöéí åçìåöåú                                       Pionniers, pionnières

úåùáéí åòåìéí                                             Habitants et Olim

 äðä áà éåí äòìéä                                  Voici venu le temps de la Alya

 òìéðå åìîøåú äîëùåìéí                Malgré les difficultés, nous sommes montés

òåæ ÷ãéîä áðé ò÷éáà                          Avec force, En Avant  Bné Akiva !

ñéñîúðå úåøä åòáãä      Notre Idéal Torah et Travail (de la Terre d’Israël)

      ãéâìðå ëçå âáåøä                   Notre Flambeau la Force et le Courage

àðçðå ëåìðå àîøðå ëï                                    Nous avons tous dis Oui !

  ÷ãéîä ìàøõ éùøàì                    En Avant !  pour (et vers) Erets Israël !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chansons que nous avons l’habitude de chanter après la chanson de « ÷ãù çééê » :

 

äáà ðôéõ àú äàåø äâãåì "                        Allons faire diffuser la grande lumière

àú àåø äúåøä                                           la lumière de la Torah

ðñéø îòìéðå ëì îëùåì                            Enlevons nous toutes les barrières

     ð÷éí áàøöðå éùéáåú                  et on érigera sur notre Terre, des Yechivot

 éùéáåú ð÷éí áòéø åáëôø     Des Yechivot on érigera, dans les villes et les villages

áòî÷ áäø áöôåï åáãøåí                        Dans les vallées, dans les montagnes,

 dans le Nord et dans le Sud

åâí áúåê äîãáø"                                          Et même dans le désert


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Cet article contient aussi des idees de peoutot et des chansons.


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